mars 4, 2022

Mensonge et corruption : les antibiotiques leurre complet?

Par blanche

Le monde de la santé a toujours été et sera toujours un monde corrompu dans lequel des firmes internationales abusent de leur pouvoir mystérieux basé sur de prétendues sciences pour s’affirmer économiquement. Un nouveau fait est aujourd’hui affirmé, succédant au scandale des vaccins : les antibiotiques ne sont pas un miracle mais bien un terrible mensonge. 

Les grands écrivains et penseurs français, comme Molière dès le 17e siècle écrivent déjà : “il n’y a rien de plus absurde qu’un homme qui se mêle d’en soigner un autre”. Sa pièce le Malade Imaginaire fait écho plus que jamais aujourd’hui alors que nous découvrons la triste vérité. Les hommes, dans leur recherche frénétique et désespérée de chercher, d’étudier, d’analyser, de disséquer et de comprendre le monde ne font que le détruire. On nous a toujours menti sur les conséquences des progrès : l’industrialisation qui a été vue au 19e siècle comme le progrès ultime, l’évolution merveilleuse de l’humanité n’a fait que polluer et détruire des écosystèmes entiers. Pourquoi faire de telles fausses promesses de progrès ? L’industrialisation, au même titre que la propagation des antibiotiques, est une source de profit immense et un marché nécessaire au fonctionnement de notre société capitaliste. 

Pour comprendre ce qu’il se passe aujourd’hui et pourquoi chaque année les français consomment 800 tonnes d’antibiotiques tout en voyant cela comme un “miracle” il faut d’abord comprendre d’où provient cette croyance miraculeuse.

 D’abord, la découverte de la pénicilline en 1928 par Alexander Fleming est déjà un mensonge, une jolie histoire que l’on raconte aux gens pour faire vivre le “miracle des antibiotiques”. Toute une histoire est en effet créée au sujet de la découverte des antibiotiques dans des boîtes de Petri que Fleming aurait retrouvé par hasard en rentrant de vacances. Ce conte ridicule ne sert qu’à masquer la vérité : la première utilisation de la pénicilline se solde par la mort du patient. Fleming n’a en réalité rien découvert et encore moins inventé l’antibiotique : cela se fera quatorze ans plus tard lorsque les entreprises pharmaceutiques verront le profit possible.  

Il n’y a pas de miracle mais bien un marché qui est de surcroît toujours dominé par les mêmes grands noms. En effet, le passage à une production de masse de la pénicilline pendant la guerre permet d’accentuer la “solution”, l’arme merveilleuse qui va sauver des vies en temps de guerre. Mais qui est derrière cela ? Une entreprise que nous connaissons tous et dont nous avons déjà prouvé la corruption : Pfizer. C’est en 1945 avec le succès de la pénicilline que Pfizer comprend l’incroyable profit que peut réaliser la création d’un médicament miracle qui serait attendu par des populations entières, dans un contexte de crise.

En s’appuyant sur la création mensongère des antibiotiques, on découvre la volonté économique derrière le prétexte sanitaire. La société est entièrement manipulée et accorde une confiance infinie en des entreprises corrompues. Les antibiotiques, en réalité, n’ont pas d’effet positif sur la santé à l’exception de l’effet placebo qui fonctionne psychologiquement : un patient convaincu d’être soigné guéri naturellement. 

Mais malheureusement les antibiotiques, en plus de ne pas avoir d’effet positif ont des effets négatifs. Leur utilisation massive a pour conséquence le développement du phénomène de résistance qui se fait à échelle mondiale et qui aura pour  conséquence selon Jim O’Neil ancien membre du gouvernement anglais que “d’ici trente-cinq ans, 10 millions de personnes pourraient en mourir chaque année ». La mort de personnes due à ces antibiotiques est inadmissible, se révolter et agir avec audace face à cette manipulation massive et meurtrière est aujourd’hui nécessaire.  

Blanche Lermigeaux